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Itinéraire: Tehran

JOUR 1 : ARRIVEE A TEHERAN

 Arrivée à Téhéran, rencontre avec l’équipe d’accompagnateur, et assistance à l’aéroport puis transfert à l’hôtel.

Nuit à TEHERAN                

JOUR 2 : TEHERAN – ILDE DE KISH (1er vol intérieur)

½ Journée d’excursion dans la capitale vaste et peuplée de 8 millions d’habitants, moderne et entourée de hauts sommets enneigés l’hiver, avec au nord son point culminant à 1700 m d’altitude. Les visites commencent par le Musée du Tapis, connu internationalement, et le Palais SA’AD ABAD, avec son parc évoquant la dernière dynastie PAHLAVI de l’Iran et enfin le Bazar de TAJRISH, toujours au Nord où l’on se presse pour y faire son marché d’épices, d’herbes qui servent à cuisiner, ou de pierres, de tapis, de vaisselle. Bref, une agréable visite pour vous mettre dans l’ambiance du Bazar à l’iranienne. L’après-midi, transfert à l’aéroport pour vol à destination de l’île de KISH, à l’arrivée, transfert à l’hôtel. Temps libre pour permettre à chacun d’explorer l’île à son rythme et de profiter des multiples attractions de l’île.

Nuit sur l’île de KISH.

Le palais de Sa'dabad a été construit par la dynastie Qadjar et la dynastie Pahlavi successivement dans le quartier nord de Shemiran. Ce sont les derniers membres de la dynastie Qadjar qui ont fait construire les premiers bâtiments de cet ensemble au début du 20ème siècle, dans une partie alors excentrée de la capitale, au climat plus aéré en été grâce à la proximité des montagnes. Reza Shah a d'abord vécu ici dans les années 1920 et y a fait construire des pavillons et des villas plus modernes avant de déménager au palais de Marbre en centre-ville. Mohammad Reza Pahlavi a déménagé au palais de Sa’dabad à la fin des années 1960, après la tentative d'attentat de 1965, et parce que l'agrandissement de la famille royale nécessitait un confort plus contemporain. Après la révolution islamique de 1979, les différents pavillons et villas composant le palais ont été transformés en musées.

                          

Tajrish est un quartier le long de l'extrémité Nord de Téhéran, la capitale de l'Iran. Ce quartier est l'une des plus vieilles parties de Téhéran et est devenu tardivement prisé par les riches à cause de son faible niveau de pollution. En effet, cette partie de la ville est située le long des montagnes au nord de Téhéran. Tajrish est situé dans le district de Shemiran. En 2006, le quartier avait 86 000 habitants. Jusqu'en 1970, Tajrish et son voisin Shemiranat sont de petites villes le long de l'extrémité de Téhéran souvent utilisé pour les loisirs par les habitants de la ville. Ce secteur était relativement déconnecté du cœur du tissu urbain de Téhéran mais était facilement accessible et devient un lieu populaire vacationing spot. Avec l'augmentation de la population et le besoin de plus d'espace à partir de 1970, Tajrish finalement gagne une population relativement dense et deviendra mieux connecté avec le reste de la ville. Tajrish a un vieux bazar et un mausolée appelée Imam Zadeh Saleh, tous deux sont des lieux touristiques populaires.

La place Tajrish est l'une des parties les plus actives de Téhéran, avec des terminaux de bus et de taxi, centre commerciaux (incluant l'exclusive Tandis Center) et beaucoup de restaurants. Le rond-point de Tajrish est le début de l'avenue Vali-ye Asr, la plus longue voie de Téhéran.

 

 

JOUR 3 : ILE DE KISH

Journée complète de tours dans l’île à commencer par le Parc où se dresse le plus vieil arbre de l’île, et un petit zoo qui abrite des animaux tropicaux suivis de la découverte de la Ville-Grotte Souterraine de CARIZ, reconvertie en ville moderne avec ses magasins, ses restaurants, ses maisons de thés traditionnels et salles de conférence, dans une atmosphère inaccoutumée car cela se passe à 16 mètres de profondeur sur une étendue de 10 000 m².

Nuit sur l’île de KISH.

L’ile de Kish est un trésor où les iraniens aiment aller par vol direct de toutes les grandes villes pour profiter des joies de la mer aux températures douces. Elle fait partie de la région du Hormozgan du Sud de l’Iran où l’été est très chaud et l’hiver doux. La nature est généreuse et permet de manger les fruits et légumes des régions tropicales. Elle possède aussi ses nombreux sites culturels :

 

     Harireh, la ville antique, dont certaines parties de la ville, entre autres les hammams, les aqueducs et la grande mosquée ont été rénovées ou reconstruites pour les plus abîmées. Le canal ou Kâriz de la ville antique est sans doute la partie la plus intéressante à visiter, puisqu’il s’agit littéralement d’une ville sous la ville, les canaux ne servant pas uniquement à retenir et à déplacer l’eau potable, mais comprennent aussi des stations souterraines pour le repos des habitants durant les heures chaudes, des chambres, des salles, des décorations murales, des arches travaillées, etc. De plus, les innombrables ustensiles antiques et même pré-antiques utilisés par les habitants de l’île depuis des millénaires ont été conservés.

 

 

     Kariz, Ville aquatique souterraine aménagée pour permettre à chacun de profiter des merveilles de la nature

 

 

     Parc zoologique

 

 

     Parc des dauphins sur 100 hectares (dauphins, phoque)

 

 

     Jardin des oiseaux où vivent 57 espèces dont les pélikans, perroquets, autruches…

 

 

     Cabane Hour pour les amateurs de plongée sous marine, et des barques aménagées pour déguster les fruits de mer ou y observer la faune aquatique.

 

 

     Arbre vert qui est le plus vieil arbre où l’on accroche ses vœux aux branches, qui serait arrivé à bord d’un navire portugais

 

 

     Bazar de Saffine où l’on pourra acheter le dernier souvenir avant de repartir dont l’architecture rappelle ceux du continent

 

 

L’île de Kish, La perle du golfe Persique est une zone de station balnéaire et un paradis tropical ensoleillé, entouré de magnifiques récifs de corail et de petites îles. Les plages de sable blanc et la mer bleue sont idylliques et propices aux sports nautiques en vogue aujourd’hui, à la plongée sous-marine et à la planche à voile.  

                

JOUR 4 : ILE DE KISH – SHIRAZ

Le matin après le petit-déjeuner, transfert à l’aéroport pour vol à destination de Shiraz. L’après-midi, excursion en direction MARVDASHT où se tient à quelques kms le plus grand site archéologique de l’Iran, PERSEPOLIS, nommé aussi TAKHTEH JAMSHID, qui date de 518 AV JC, de l’époque achéménide, grande période des Rois Perses. Visite également de NAQSH-E-ROSTAM la Nécropole des Rois. Retour à Shiraz en fin d’après-midi et temps libre.

Nuit à SHIRAZ.

« Persépolis », désigne la Cité Perse, aussi connue sous le nom « Takhteh Jamshid ». Le Trône de Jamshid, était la capitale de l’Empire Achéménide (550 AV JC). La Ville des Perses est située à 60 kms au nord-est de Shiraz dans la province du Fars. Les premières ruines de Persépolis date de 515 AV JC et sont caractéristiques du style architectural Achéménide. Ce site est reconnu comme patrimoine mondial de l’Unesco en 1979.

                                                                                  

« Naqsh-e-Rostam », situés à 6.5 kms de Persepolis fait partie du complexe de Marvdasht et espère être reconnu aussi par l’Unesco. Les Bas-Reliefs sont symboles de la période Sassanide. Une des grottes taillées dans la roche laisse apparaître l’inscription d’Ardeshir I (226-241), fondateur de la dynastie, puis vint le Roi Shapur I, son successeur. Une des scènes de Bas-Relief est la représentation de la victoire de Shapur I, à cheval et tenant le bras de l’empereur Philippe l’Arabe. Il combattit les Romains aussi à plusieurs reprises. Une autre inscription est attribuée à Kartir, haut prêtre zoroastrien sous le règne de Shapur I et ses fils Hormizd (272-273) et Bahram (273-276).

                                 

JOUR 5 : SHIRAZ – ISFAHAN (vol intérieur)

Journée complète de tour pour visiter le Complexe VAKIL où se tiennent le BAZAR et le HAMMAM, ainsi que la Citadelle KARIM KHAN aux tours penchés. Ambiance dynamique et chaleureuse par la couleur des murs. Restaurants traditionnels et marchés de tapis sont plantés là depuis la nuit des temps. Promenade à la suite du Jardin ERAM où l’on trouve sérénité et calme avec sa végétation et son bassin devant une vieille demeure de la période Kadjar et enfin recueillement sur les tombes des grands écrivains et philosophes de la littérature persane, Hâfez et Sa’adi. En soirée, transfert à l’aéroport pour vol à destination de Isfahan et transfert à l’hôtel.

Nuit à ISFAHAN.

Zandieh ou le complexe Vakil incluant le Bazar, le Hammam et la Mosquée.

Le Bazar VAKIL est le principal bazar de la ville, situé dans le centre historique de Shiraz. Cela rappelle que cette place de commerce a été établie au 11e siècle par Buwayhids, qui a été principalement rebâti par les « Atabaks » du Fars. Au 18e siècle, le régent Karim Khan Zand a renommé tout ce complexe. Le Bazar est un ensemble de cours, de bassins, de maison de bains, de minuscules échoppes et de places où l’activité commerciale allait des épices, aux tapis, aux cuivres et à tout l’artisanat du bois, des bijoux, des pierres… Comme tout bazar, on retrouve des mosquées et « Imâmzâdeh » construites à l’avant ou à l’arrière du bazar.

Le Hammam VAKIL est un très ancien bain ouvert au public à Shiraz. Construit par Karim Khan, il est une des œuvres du district royal, inclus parmi tous les autres édifices aussi bien administratif que religieux. Le monument est classé sous le numéro 917 de la liste nationale.

 

La Mosquée VAKIL de Shiraz est située à l’ouest, à côté de la porte d’entrée du Bazar Vakil. Elle a été construite entre 1751 et 1773 pendant la période Zand et restaurée sous le règne Kadjar. Vakil veut dire « régent », ou « ministre » de nos jours, ce nom a été donné par Karim Khan, le fondateur de la dynastie Zand. Shiraz a été gouvernée par ce dernier qui a, durant sa présence, fait bâtir et édifier beaucoup de bâtiments et de monuments.

 

HAFEZ est né à Shiraz. Ses parents étaient originaires de Kazerun, dans la province du Fârs. Malgré son influence profonde, ses effets sur le mode de vie iranienne, et sa popularité, beaucoup de détails sur sa vie sont restés méconnus. Beaucoup d’anecdotes sont devenues incontournables sur ses débuts et les sketches « tazkiras » mentionnent son manque de sérieux et de morale. Pourtant, très jeune, il mémorise le Coran comme personne et se donne le titre de Hâfez (plume) qu’il utilisera plus tard comme nom d’auteur.

 La préface du « Divân », dans laquelle il est question de ses débuts, a été écrite par un écrivain contemporain Mohammad Golandâm. Cet auteur et Qâsem Gani ont rédigé les compilations des œuvres de Hâfez, édités sous un langage moderne, ainsi que Parviz Natel-Khanlari.

                           

Abu-Muhammad Muslih al-Din bin Abdallâh Shirâzi, plus connu sous le nom de Sa’adi, puis Saadi de Shiraz était l’un des plus réputés poètes et homme de littérature perse de la période médiévale. Il n’est pas seulement un journaliste écrivain de l’époque, mais aussi reconnu pour ses inspirations occidentales. Son écriture de grande qualité, sa richesse de pensées morales et sociales l’ont placé au plus haut rang de la littérature. Saadi est largement reconnu comme le plus grand poète de la traditionnelle littérature classique perse. Né à Shiraz en 1210, très jeune, son père mourut et raconte dans ses mémoires d’enfant tous ses souvenirs d’enfance et de son père lors des festivités. Dans sa jeunesse, Saadi a connu la pauvreté et les épreuves de la vie. Il a quitté sa ville natale pour rejoindre Baghdad et poursuivre une meilleure éducation. Très jeune, il rentra à l’Université Nizamiyya, où il étudia les sciences islamiques, les lois, la gouvernance, l’histoire, la littérature Arabe, et la Théologie Islamique. Il revient à Shiraz en 1257 et construit son jardin et bassin où l’on se receuille encore. L’année suivante, il raconte dans ses poèsies la tombée du Caliphat Abbasid et la destruction de Baghdad par l’invasion des Mongoles en février 1258. Quand il réapparut dans sa ville natale, il est à l’aube de sa quarantaine, Shiraz est sous le règne de Atabak Abubakr Sa’d Ibn Zangy de 1231 à 1260, et vit des jours heureux dans une relative tranquillité parmi tous les plus grands de sa province.

 

Le Jardin d'Eram contruit au 13ème siècle au nord de la Rivière Khoshk comprend aussi un Palais dont la photo mythique reflète dans le bassin face à la maison. Mais ce qui marque le plus, c’est le jardin construit sous l'ère Kadjar au 19ème siècle, il est devenu sous la protection de l'Université de Pahlavi en sa période et devint École de Droit. Avant tout, ce sont d’immenses cyprès, roseraies, bassins, jardin botanique. Il est restait propriété de l’Université de Shiraz, quant au Palais, il n’est visible que de l’extérieur.

 

JOUR 6 : ISFAHAN

Journée complète de tours dans la ville que l’on dit le centre du monde à cause de sa position géographique. Inoubliable à cause de sa place NAQSH-E-JAHAN, joyau de la ville bordée des Mosquées IMAM et SHEIKH LOTFOLAH, des Palais TCHEHEL SOTON (40 Colonnes) et ALI QAPU et par où on accède discrètement au BAZAR où tout se trouve comme argent, cuivre, bijoux, tapis, céramique, sculptures, peintures, épices… En soirée, il est impératif d’aller sur les bords de la rivière ZAYENDEH pour voir de très vieux ponts appelés « CE-O-CE POL » (33 Arches) et « KHAJU », et profiter des TCHAEI KHANEH (Maison du Thé).

Nuit à ISFAHAN.

La Place Nagh e Jahan, est située au centre de la ville. Construite entre 1598 et 1629, c’est maintenant un centre historique reconnu par l’Unesco. 160 mètres en largeur et 560 mètres en longueur. La place est entourée de bâtiments qui datent de l’ère Safavide.

 

La Mosquée Lotfollah, salon privé du Harem du Shah. C’est un des quatre monuments dominant face au Palais qui a été construit en premier. La Cour Royale se l’était appropriée pour elle-même, alors que la Mosquée était conçue pour le public. Pour cette raison, la Mosquée n’a aucun minaret et est d’une plus petite taille. Effectivement, quelques occidentaux de la période Safavide ne prêtait même pas attention à celle-ci. Ce n’est qu’aux siècles derniers quand les portes se sont ouvertes au public, que le public a pu admiré l’effort réalisé par le Shah Abbas pour y installer les femmes de son harem ; le travail exquis de céramique est de loin supérieur à la céramique qui couvre la Mosquée Jameh.

                                

Le Palais Ali Qapu est une vaste demeure résidentielle qui marque l’entrée du Palais Royal du Shah Abbas. Il s’étend de la Place Naqsh e Jahan au Boulevard Chahar Bagh. Le nom est composé de Ali, nom arabe et Qapu, nom d’origine turc relié à la Porte d’Ali, rapporté d’Irak du Tombeau de l’Imam Ali selon une légende. A l’époque Safavide, on rivalisait le nom Ali de l’empire Ottoman et de leur cour. C’était là encore que la Monarchie recevait tous les nobles visiteurs et ambassadeurs étrangers. Le Shah Abbas, pour la première fois, célébra le Norouze (premier jour de l’an) en 1006. Sa structure est rectangulaire, haute de 48 mètres, à 6 étages, et a en façade une large terrasse supportée par des colonnes en bois. Au 6ème étage, se tenaient les réceptions royales et banquets. Les plus grandes pièces se trouvent à cet étage.

 

Le Palais Tchehel Sotun est un large pavillon situé dans un parc face à un plan d’eau construit par le Shah Abbas II utilisé pour les réceptions et cérémonies officielles où les hauts dignitaires, ambassadeurs qui étaient conviés sur le salon donnant sur la terrasse de façade. Son nom est dû à ces vingt colonnes qui par le reflet de l’eau double son chiffre et sont comptés au nombre de 40. Comme le Palais Ali Qapu, il abrite de nombreuses fresques et peintures, céramiques. A l’ouest, se tient un musée où l’on peut admirer toutes les belles œuvres de céramiques et de verrerie qui laisse supposer l’esprit de joie de vivre et romanesque de l’amour.

 

Le Vieux Bazar d’Isfahan est un marché historique, un des plus marqués par son activité dans le centre de l’Iran qui date du 17ème siècle. Il s’étend sur deux kilomètres de ruelles qui se croisent et se rejoignent avec la nouvelle partie. Il est au centre d’Isfahan et partie nord de la Place Naqsh e Jahan. Son entrée principale s’appelle Qeisarieh et vous pouvez accéder à la Mosquée du Vendredi, qui est aussi l’une des plus anciennes. Avant d’entrer dans le Bazar, il faut regarder derrière soi pour y apercevoir la longueur de la place, qui est l’une des plus grandes place au monde. Tous les arts et artisanats sont réunis à l’intérieur de ce marché où il est agréable de se promener et d’aller à la rencontre des iraniens de passage ou non.

 

Les Ponts Ci o Ce Pol et Khaju, dont l’acoustique particulièrement ingénieuse permet d’offrir des concerts le long de la rivière Zayandeh, en soirée et aussi pour y déguster un thé dans un « tchaie khaneh », maison de thé. Promenade incontournable de la ville.

Il s’appelle aussi Allah Verdi Khan et possède 2 rangées de 33 arches typiques du design Safavide d’une longueur de 297 mètres et appartient aux 11 ponts historiques de l’Iran. Autrefois, on y trouvait une maison de thé mais le dessèchement fluvial en a voulu autrement.

                                      

JOUR 7 : ISFAHAN

Journée complète d’excursion dans la ville côté Arménien avec la visite de la Cathédrale VANK et du Palais HASHT BEHEST. Après-midi, temps libre pour wagabonder dans la ville pour de mutliples découvertes personnelles.

Nuit à ISFAHAN.

Le Palais Hasht Behesht que l’on peut traduire par Huit Paradis est de l’époque Safavide, construit en 1669 et fait partie de l’Organisation de l’Héritage Culturel de l’Iran.

 

La Cathédrale Vank, plus connue sous le nom de Cathédrale Saint-Sauveur d'Isfahan, est la cathédrale la plus visitée d'Iran. Vank signifie monastère en arménien. Elle se situe dans le quartier arménien d'Ispahan, appelé La Nouvelle-Djoulfa. Elle est dédiée au saint Sauveur (Jésus-Christ) et a été construite entre 1655 et 1664, après que les Arméniens de Djoulfa eurent été déportés à la Nouvelle-Jolfa par le chah.

Cette cathédrale abrite également aujourd'hui un musée consacré à l'histoire des Arméniens de la Nouvelle-Jolfa, une imprimerie ancienne, ainsi qu'une grande bibliothèque de manuscrits arméniens (au nombre de sept cents).

Vue de la rue, la cathédrale a le même aspect qu'une mosquée si ce n'est la croix au sommet du dôme. L'intérieur est recouvert de fresques racontant entre autres le martyre légendaire de saint Grégoire l'Illuminateur, fondateur de l'Église arménienne. À côté de la cathédrale se trouve un musée de l'art arménien, avec un mémorial du génocide arménien.

 

JOUR 8 : ISFAHAN – TEHERAN

Après le petit-déjeuner, départ par la route en direction de Téhéran, et transfert à l’aéroport international de Téhéran IKA pour vol de retour.