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Itinéraire: Tehran

 

JOUR 1 : TEHERAN

Arrivée à Téhéran, rencontre avec l’équipe d’accompagnateur, assistance à l’aéroport et transfert à l’hôtel.

Nuit à TEHERAN.

JOUR 2 : TEHERAN – RAMSAR (250 kms)

Le matin, route vers RAMSAR via CHALUS et en chemin, arrêt et promenades dans quelques sites forestiers de l’ALBORZ et de la Mer Caspienne. Poursuite du voyage jusqu’à RAMSAR, cité balnéaire qui allie mer et montagne d’où ses magnifiques paysages.

Nuit à RAMSAR.

Ramsar est une ville du nord de l'Iran, au bord de la Mer Caspienne. Pour les touristes, elle offre des plages, des stations thermales, des forêts verdoyantes des Monts Elbourz ainsi que la résidence d'été du dernier chah, le Palais de Ramsar.

Certains endroits de cette ville révèlent la concentration la plus élevée du monde en radioactivité naturelle. Celle-ci est libérée par des sources thermales. C'est aussi le lieu où a été signée, en 1971, la convention de Ramsar relative aux zones humides d'importance internationale, particulièrement comme habitats des oiseaux d'eau.

JOUR 3 : RAMSAR – ANZALI via MASSOULEH (186 kms)

Après le petit-déjeuner, route vers MASSOULEH, village typique avec ses maisons basses, entouré de verdure et poursuite du voyage jusqu’au Port d’ANZALI, où l’on peut profiter du Lagon d’Anzali et destination finale à RASHT.

Nuit à ANZALI.

Bandar-e Anzali ou simplement Anzali (Bandar signifiant port en persan) (en persan : بندر انزلی), connue sous le nom de Bandar-e Pahlavi (بندر پهلوی) de 1925 à 1980, avant la révolution islamique de 1979, est une ville portuaire de la province du Guilan, en Iran, située au bord de la mer Caspienne à 41 kilomètres de Rasht et à 360 kilomètres de Téhéran. Sa population est passée de 98 544 habitants en 1996 à 110 643 habitants en 2006 et à 114 105 habitants en 2012. Elle est peuplée surtout de Guilanis et d'Azéris turcophones.

C'est également une station balnéaire prisée.

Masouleh est un village de la province du Guilan en Iran. Les noms historiques du village sont Maassalar et Khortab. Le village a été fondé au Xe siècle et sa population actuelle est estimée à 900 habitants.

Masouleh est à environ 60 km au sud-ouest de Rasht et à 25 km à l'ouest de Fouman. Le village se situe 1 050 mètres au-dessus du niveau de la mer dans la chaîne de l'Elbourz, à côté du littoral sud de la mer Caspienne. Le village en lui-même a une dénivellation de plus de 100 mètres. Le brouillard est le climat prédominant de Masouleh.

L'architecture de Masouleh est unique. Les bâtiments ont été construits à flanc de montagne et sont reliés entre eux. Les cours et les toits servent d'espaces piétons de la même façon que les rues, puisque le toit d'une maison sert de cour à la maison qui est située au-dessous. Masouleh n'autorise pas l'accès aux véhicules motorisés, à cause de sa conception unique. C'est le seul village en Iran à disposer d'une telle interdiction. Les rues étroites et les nombreux escaliers ne permettraient de toute façon pas aux véhicules de circuler dans le village. L'extérieur des bâtiments est recouvert d'argile de couleur ocre/jaune. Cela permet une meilleure visibilité dans le brouillard.

 

JOUR 4 : RASHT - TEHERAN via QAZVIN – SHIRAZ par vol intérieur

Le matin, après le petit-déjeuner, retour par la route vers Téhéran, via QAZVIN connue pour ses tapis de type Baghlava et ses poètes, où l’on visite le Lieu Saint SHAZDE HOSSEIN, et le Monument ALI QAPU. Poursuite du voyage jusqu’à Téhéran et transfert à l’aéroport Mehrabad pour vol à destination de Shiraz.

Nuit à SHIRAZ.

Qazvin est une ville d'Iran située à l'ouest de Téhéran et au pied des monts Elbourz. Qazvin est la capitale de la province portant son nom. Qazvin aurait été fondée par Shapur Ier, sous le nom de Shahd-e Shahpur. Ravagée de nombreuses fois par les Daylamites, harcelée par les Nizârites ou "Assassins" de la vallée voisine d'Alamut, détruite à deux reprises par les Mongols, elle devient la première capitale de l'empire safavide de 1555 à 1597. La ville décline progressivement, redevient prospère sous les Qadjars, mais souffre de l'occupation soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale.

La Mosquée Imam Zadeh est la tombe du fils du 8ème Imam Ali al Ridha à Qazvin. Le Shah Tahmasp a construit cet édifice au 16ème siècle qui est devenu un lieu de pèlerinage, depuis la période Safavide.

 

 

L’édifice Ali Qapu est un des plus visités de la ville de Qazvin et se situe au début de la rue Sépah. L’entrée de ce bâtiment donne sur la citadelle de l’époque Safavide, qui en comporte sept.

 

JOUR 5 : SHIRAZ – PERSEPOLIS – SHIRAZ (160 kms A/R)

Tôt le matin, route vers MARVDASHT, petite ville à priori très simple mais située à proximité de Takhteh Jamshid, ou plus communément PERSEPOLIS, le plus grand site archéologique de l’Iran des Rois Achéménides suivie des Nécropoles des ROIS NASQH-E-ROSTAM et NAQSH-E-RAJAB. En fin de journée, retour vers SHIRAZ.

Nuit à SHIRAZ.

« Persépolis », désigne la Cité Perse, aussi connue sous le nom « Takhteh Jamshid ». Le Trône de Jamshid, était la capitale de l’Empire Achéménide (550 AV JC). La Ville des Perses est située à 60 kms au nord-est de Shiraz dans la province du Fars. Les premières ruines de Persépolis date de 515 AV JC et sont caractéristiques du style architectural Achéménide. Ce site est reconnu comme patrimoine mondial de l’Unesco en 1979.

Ensemble avec « Naqsh-e-Rostam », situés à moins d’un kilomètre l’un de l’autre, ils font partie du complexe de Marvdasht. Tous deux ont l’espoir d’être reconnus au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Les Bas-Reliefs sont symboles de la période Sassanide. Une des grottes taillées dans la roche laisse apparaître l’inscription d’Ardeshir I (226-241), fondateur de la dynastie, puis vint le Roi Shapur I, son successeur. Une des scènes de Bas-Relief est la représentation de la victoire de Shapur I, à cheval et tenant le bras de l’empereur Philippe l’Arabe. Il combattit les Romains aussi à plusieurs reprises. Une autre inscription est attribuée à Kartir, haut prêtre zoroastrien sous le règne de Shapur I et ses fils Hormizd (272-273) et Bahram (273-276).

 

« Naqsh-e-Rostam », situés à 6.5 kms de Persepolis fait partie du complexe de Marvdasht et espère être reconnu aussi par l’Unesco. Les Bas-Reliefs sont symboles de la période Sassanide. Une des grottes taillées dans la roche laisse apparaître l’inscription d’Ardeshir I (226-241), fondateur de la dynastie, puis vint le Roi Shapur I, son successeur. Une des scènes de Bas-Relief est la représentation de la victoire de Shapur I, à cheval et tenant le bras de l’empereur Philippe l’Arabe. Il combattit les Romains aussi à plusieurs reprises. Une autre inscription est attribuée à Kartir, haut prêtre zoroastrien sous le règne de Shapur I et ses fils Hormizd (272-273) et Bahram (273-276).

                                 

JOUR 6 : SHIRAZ

Journée complète d’excursion dans la ville des Poètes et des Roses, SHIRAZ, avec son traditionnel BAZAR et la citadelle KARIM KHANI, le Jardin ERAM, et à la porte de la Ville, les Mausolées des Poètes qui font la fierté nationale, HAFEZ et SA’ADI.

Nuit à SHIRAZ.

Zandieh ou le complexe Vakil incluant le Bazar, le Hammam et la Mosquée.

Le Bazar VAKIL est le principal bazar de la ville, situé dans le centre historique de Shiraz. Cela rappelle que cette place de commerce a été établie au 11e siècle par Buwayhids, qui a été principalement rebâti par les « Atabaks » du Fars. Au 18e siècle, le régent Karim Khan Zand a renommé tout ce complexe. Le Bazar est un ensemble de cours, de bassins, de maison de bains, de minuscules échoppes et de places où l’activité commerciale allait des épices, aux tapis, aux cuivres et à tout l’artisanat du bois, des bijoux, des pierres… Comme tout bazar, on retrouve des mosquées et « Imâmzâdeh » construites à l’avant ou à l’arrière du bazar.

Le Hammam VAKIL est un très ancien bain ouvert au public à Shiraz. Construit par Karim Khan, il est une des œuvres du district royal, inclus parmi tous les autres édifices aussi bien administratif que religieux. Le monument est classé sous le numéro 917 de la liste nationale.

 

La Mosquée VAKIL de Shiraz est située à l’ouest, à côté de la porte d’entrée du Bazar Vakil. Elle a été construite entre 1751 et 1773 pendant la période Zand et restaurée sous le règne Kadjar. Vakil veut dire « régent », ou « ministre » de nos jours, ce nom a été donné par Karim Khan, le fondateur de la dynastie Zand. Shiraz a été gouvernée par ce dernier qui a, durant sa présence, fait bâtir et édifier beaucoup de bâtiments et de monuments.

 

Le Jardin d'Eram contruit au 13ème siècle au nord de la Rivière Khoshk comprend aussi un Palais dont la photo mythique reflète dans le bassin face à la maison. Mais ce qui marque le plus, c’est le jardin construit sous l'ère Kadjar au 19ème siècle, il est devenu sous la protection de l'Université de Pahlavi en sa période et devint École de Droit. Avant tout, ce sont d’immenses cyprès, roseraies, bassins, jardin botanique. Il est restait propriété de l’Université de Shiraz, quant au Palais, il n’est visible que de l’extérieur.

 

HAFEZ est né à Shiraz. Ses parents étaient originaires de Kazerun, dans la province du Fârs. Malgré son influence profonde, ses effets sur le mode de vie iranienne, et sa popularité, beaucoup de détails sur sa vie sont restés méconnus. Beaucoup d’anecdotes sont devenues incontournables sur ses débuts et les sketches « tazkiras » mentionnent son manque de sérieux et de morale. Pourtant, très jeune, il mémorise le Coran comme personne et se donne le titre de Hâfez (plume) qu’il utilisera plus tard comme nom d’auteur. La préface du « Divân », dans laquelle il est question de ses débuts, a été écrite par un écrivain contemporain Mohammad Golandâm. Cet auteur et Qâsem Gani ont rédigé les compilations des œuvres de Hâfez, édités sous un langage moderne, ainsi que Parviz Natel-Khanlari.

                           

Abu-Muhammad Muslih al-Din bin Abdallâh Shirâzi, plus connu sous le nom de Sa’adi, puis Saadi de Shiraz était l’un des plus réputés poètes et homme de littérature perse de la période médiévale. Il n’est pas seulement un journaliste écrivain de l’époque, mais aussi reconnu pour ses inspirations occidentales. Son écriture de grande qualité, sa richesse de pensées morales et sociales l’ont placé au plus haut rang de la littérature. Saadi est largement reconnu comme le plus grand poète de la traditionnelle littérature classique perse. Né à Shiraz en 1210, très jeune, son père mourut et raconte dans ses mémoires d’enfant tous ses souvenirs d’enfance et de son père lors des festivités.

Dans sa jeunesse, Saadi a connu la pauvreté et les épreuves de la vie. Il a quitté sa ville natale pour rejoindre Baghdad et poursuivre une meilleure éducation. Très jeune, il rentra à l’Université Nizamiyya, où il étudia les sciences islamiques, les lois, la gouvernance, l’histoire, la littérature Arabe, et la Théologie Islamique. Il revient à Shiraz en 1257 et construit son jardin et bassin où l’on se receuille encore. L’année suivante, il raconte dans ses poèsies la tombée du Caliphat Abbasid et la destruction de Baghdad par l’invasion des Mongoles en février 1258. Quand il réapparut dans sa ville natale, il est à l’aube de sa quarantaine, Shiraz est sous le règne de Atabak Abubakr Sa’d Ibn Zangy de 1231 à 1260, et vit des jours heureux dans une relative tranquillité parmi tous les plus grands de sa province.

 

JOUR 7: SHIRAZ – YAZD via ABAR KOOH (438 kms)

Tôt le matin, route vers YAZD, et en chemin, arrêt pour découvrir PASARGADE, complexe archéologique inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, qui fût la capitale de CYRUS le Grand 530 AV JC. Poursuite du voyage à ABAR KOOH et visite de sa Mosquée JAMEH.

Nuit à YAZD.

Située à 87 kilomètres de Persépolis, Pasargades, fondée au VIe siècle AV JC par Cyrus II le Grand, a été la première capitale dynastique de l’Empire achéménide, au cœur du Pars, la patrie des Perses. Pasargades est restée la capitale jusqu'au règne de Darius Ier, qui a déplacé son siège à Persépolis. Ses palais, jardins, et la tombe de Cyrus constituent de remarquables exemples de la première période de l’art et de l’architecture achéménide et des témoignages exceptionnels de la civilisation perse.

 le tombeau de Cyrus II, le Tall-e Takht,

une terrasse fortifiée, un ensemble royal composé de vestiges d’une porte

une salle d’audience, le palais résidentiel et le jardin.

Le monument funérai

re de Cyrus à Pasargades est en fait une “ziggourat”, c’est-à-dire une sorte de lieu sacré. Les ziggourats sont des constructions de 5 à 7 étages souvent surmontées, sur leur dernier étage, de l’effigie d’une divinité, que l’on trouve dans les civilisations mésopotamiennes et Elamites.

 

Le tombeau de Cyrus se trouve au 7ème étage d’une “ziggourat” surmontée d’une arête. Il est conforme aux sépultures des Aryens qui s’installèrent pour la première fois sur les collines de Sialk.

 

La Mosquée Jameh de Abar Kooh date de la période Timuride, et fait partie du Registre National des Monuments en Iran depuis le mois de Mordal 1312 (date iranienne) sous le numéro 197, il y a donc presque 80 ans.

 

JOUR 8 : YAZD

Journée complète d’excursion dans la ville de YAZD, réputée pour ses pistaches que l’on trouve dans ses innombrables pâtisseries aux maisons basses et rue étroites, bâties autrefois en argile. Yazd passe pour être l’une des plus anciennes cités du Moyen Orient créée il y a près de 5000 ans, son isolement lui à permis d’échapper aux destructions des grandes invasions Mongol et Arabe avec ses célèbres « badgir » Tours du Vent pour rafraîchir les maisons. Les visites commencent par le Temple du Feu, le complexe AMIR CHAKHMAQ, les tours du Silence, le Jardin DOWLAT ABAD, la prison ALEXANDRE et la Mosquée JAMEH.

Nuit à YAZD.

Créée il y a plus de 2500 ans sous l’empire achéménide, Yazd compte parmi les plus belles oasis du pays. Elle se situe au centre de l’Iran, à 700 kilomètres au sud-ouest de Téhéran. Entourée de hautes montagnes et de déserts, elle borde le sud du Dasht-e Kavir, désert de roches et de sable, à une altitude de 1240 mètres. Placée sur les anciennes routes caravanières qui reliaient les grandes villes de Perse à l’Asie Centrale, à l’Inde et à l’Irak, Yazd devint un carrefour commercial important du commerce de la soie et des tapis.

Le Temple du Feu Zoroastrien, son bâtiment principal est d’une hauteur d’environ 21 mètres dans un large jardin arboré de cyprès et de pins. La beauté spéciale de ce bâtiment tient à la statue et aux pierres qui ornent le fronton de l’immeuble. On peut y lire « Bonne Parole, Bonne Pensée, Bonne Action ». A l’intérieur du temple, on peut apercevoir à travers une vitre le feu sacré ; dans un grand vase en métal, des bûches brûlent pour témoigner de la pureté, de la vérité et de la bonté divine et ce feu est entretenu depuis 1500 ans.

 

 

Le centre de la ville de Yazd est occupé par le complexe d’Amir Chakhmagh qui compte 3 citernes et des bâtiments de plusieurs époques : une mosquée, le musée de l’eau, un bazar. Le Tekiyeh est un endroit où les chiites se rassemblent pour commémorer le martyr Imam Hossein, et une longue façade flanquée de deux minarets et de loggias sur 3 niveaux, du haut desquels la vue sur la ville vaut le détour. Le spectaculaire fronton du Tekiyeh, datant du 15ème siècle, a été rebâti à l’époque Kadjar. Le public peut s’installer sur ses trois niveaux de tribunes pour assister aux processions du deuil.

 Les tribunes latérales d’origine, qui avaient disparu, ont été reconstruites en 2005. La mosquée Amir Tchakhmagh, d’époque timouride (11ème siècle), a été complétée par de belles ornementations d’émail d’époque Kadjar au 19ème siècle.

 

Les Tours du silence, ou dakhma, se trouvent à l’écart de la ville, sur des tertres, dans le désert alentour. En effet, dans la religion zoroastrienne, l'enterrement ou la crémation des défunts étaient interdits, les morts étaient considérés comme impurs et susceptibles de souiller ces éléments sacrés que sont le feu, la terre et l'eau. Une fois dépouillés de leur chair par les vautours et autres oiseaux carnassiers de la montagne, les ossements des défunts étaient jetés dans une fosse circulaire située au centre de la tour. La pratique a duré jusqu’au XXe siècle, jusqu’à son interdiction en 1978 sous prétexte d'hygiène publique et de risque d'épidémie. Aujourd’hui, les cimetières zoroastriens accueillent les défunts qui sont mis dans des chapes de ciment, toujours dans le souci de ne pas souiller la terre.

 

Le Jardin « Dowlat Abad », de tous les jardins de Yazd, il est le plus ancien. Connu dans le monde entier pour sa haute tour du Vent de 33 mètres sur 8 qui avait été étudié pour rafraîchir les maisons sachant que la chaleur dans cette région désertique était caniculaire mais venté.

 C’est donc la maîtrise du vent qui a été recueilli et utilisé, on peut dire que c’est la ventilation naturelle ou climatisation sans énergie qui avait déjà été inventé. Quand on regarde la ville de Yazd depuis les toits, on peut en distinguer de nombreuses plus petites mais dont le système est identique. Il est enregistré depuis le 23/12/1346 sous le n°774 au patrimoine de l’Unesco.

 

La Prison Alexandre : le mausolée carré des Douze Imams porte les dates de 1036-37. Du 13ème siècle, le mausolée octogonal surnommé la Prison d’Alexandre (Zendân E Iskandar) fût par la suite intégré à un bâtiment à cour centrale, employé comme école coranique et comme madresseh (école).

 

La Mosquée Jameh (du Vendredi) de Yazd est la mosquée grande, de congrégation dans la province de Yazd et sa beauté a inspiré la numismatique pour y apposer sa photo sur de nombreux billets de banque. Elle date du 12ème siècle par Ala Oddoleh Garshash de la dynastie Bouyeh.

 Elle a été reconstruite entre 1324 et 1365. Selon des historiens, la mosquée a été construite dans le site du temple du Feu de l’époque Sassanide, puis repris par son fondateur.

La mosquée est un spécimen typique du style Azari d'architecture persane. La mosquée est couronnée par une paire de minarets, les plus hauts en Iran et la façade du portail est décorée de haut en bas dans le travail de tuile éblouissant, principalement bleu en couleurs avec une longue cour bordée d'arcades où, derrière au sud-est se trouve dans un creux un iwan donnant sur une chambre de sanctuaire (shabestan).

Cette chambre, sous un dôme carrelé trapu, est de façon exquise décorée de la mosaïque de faïence : sa grande faïence Mihrab, date de 1365. Les modèles élégants de travail de brique et l'inscription sans prix de tuiles en mosaïque portant kufic angulaire tout cet ensemble crée un sentiment de beauté majestueuse. La niche de prière principale, qui est placée au-dessous du dôme, est décorée de tuiles en mosaïque avec d’autres motifs dont celles inscrustées sont en forme d’étoile.

 

JOUR 9 : YAZD – ISFAHAN via NAEIN (322 kms)

Le matin, route vers ISFAHAN via NAEIN, où l’on découvre sa Mosquée JAMEH. Arrivée en fin d’après-midi à ISFAHAN et temps libre.

Nuit à ISFAHAN.

La Mosquée Jameh de Nain est une des mosquées les plus vieilles en Iran et la ville de Nain, près de Yazd. Datant du 9ème siècle, avec ses intérieurs datant du 11ème siècle (comme indiqué par son briquetage Seljuki) elle est en réalité toujours utilisée comme une mosquée aujourd'hui. La mosquée fait partie du style"Khorasani, qui se réfère au premier style d'architecture apparaissant après la Conquête Musulmane de la Perse. Le style est notable pour sa combinaison d'influences Islamiques et pré islamiques. Les tailles dans la pierre et le bois sont élaborées et belles.

Certains croient que le sous-sol de la mosquée a été à l'origine utilisé comme un templede feu zoroastrien. Il est connecté à une série des tunnels qui ont historiquement livré de l'eau à la mosquée - la source était dans une zone qui a reçu l'averse grâce aux tuiles légèrement inclinées, non-poreuses livrant l'eau aux endroitsimportants où l'eau était rare. C'est remarquablement plus frais ici qu'à l'extérieur.

 

JOUR 10 : ISFAHAN

Journée complète d’excursion à ISFAHAN, joyau architectural riche en couleur dans le ciel bleu azur, reconnue pour avoir la plus belle place NAQSH-E-JAHAN, entourée des Mosquée IMAM et SHEIKH LOTFOLLAH, du Palais ALI QAPU, d’un autre Palais TCHEHEL SOTON (40 Colonnes) et de son bazar, qui reflète l’activité culturelle et commerciale du moment où l’on trouve cuivre, argent, pierres, céramiques, tapis… Le soir, pour rêver et se reposer, visite des Ponts CE-O-CE POL (33 Arches) et KHAJU sur la rivière ZAYANDEH, avec ses TCHAEI KHANEH (Maison du Thé).

Nuit à ISFAHAN.

Le Palais Tchehel Sotun est un large pavillon situé dans un parc face à un plan d’eau construit par le Shah Abbas II utilisé pour les réceptions et cérémonies officielles où les hauts dignitaires, ambassadeurs qui étaient conviés sur le salon donnant sur la terrasse de façade. Son nom est dû à ces vingt colonnes qui par le reflet de l’eau double son chiffre et sont comptés au nombre de 40. Comme le Palais Ali Qapu, il abrite de nombreuses fresques et peintures, céramiques. A l’ouest, se tient un musée où l’on peut admirer toutes les belles œuvres de céramiques et de verrerie qui laisse supposer l’esprit de joie de vivre et romanesque de l’amour.

 

La Place Nagh e Jahan, est située au centre de la ville. Construite entre 1598 et 1629, c’est maintenant un centre historique reconnu par l’Unesco. 160 mètres en largeur et 560 mètres en longueur. La place est entourée de bâtiments qui datent de l’ère Safavide.

 

La Mosquée Lotfollah, salon privé du Harem du Shah. C’est un des quatre monuments dominant face au Palais qui a été construit en premier. La Cour Royale se l’était appropriée pour elle-même, alors que la Mosquée était conçue pour le public. Pour cette raison, la Mosquée n’a aucun minaret et est d’une plus petite taille. Effectivement, quelques occidentaux de la période Safavide ne prêtait même pas attention à celle-ci. Ce n’est qu’aux siècles derniers quand les portes se sont ouvertes au public, que le public a pu admiré l’effort réalisé par le Shah Abbas pour y installer les femmes de son harem ; le travail exquis de céramique est de loin supérieur à la céramique qui couvre la Mosquée Jameh.

              

Le Palais Ali Qapu est une vaste demeure résidentielle qui marque l’entrée du Palais Royal du Shah Abbas. Il s’étend de la Place Naqsh e Jahan au Boulevard Chahar Bagh. Le nom est composé de Ali, nom arabe et Qapu, nom d’origine turc relié à la Porte d’Ali, rapporté d’Irak du Tombeau de l’Imam Ali selon une légende. A l’époque Safavide, on rivalisait le nom Ali de l’empire Ottoman et de leur cour. C’était là encore que la Monarchie recevait tous les nobles visiteurs et ambassadeurs étrangers. Le Shah Abbas, pour la première fois, célébra le Norouze (premier jour de l’an) en 1006. Sa structure est rectangulaire, haute de 48 mètres, à 6 étages, et a en façade une large terrasse supportée par des colonnes en bois. Au 6ème étage, se tenaient les réceptions royales et banquets. Les plus grandes pièces se trouvent à cet étage.

 

Le Vieux Bazar d’Isfahan est un marché historique, un des plus marqués par son activité dans le centre de l’Iran qui date du 17ème siècle.

Il s’étend sur deux kilomètres de ruelles qui se croisent et se rejoignent avec la nouvelle partie. Il est au centre d’Isfahan et partie nord de la Place Naqsh e Jahan. Son entrée principale s’appelle Qeisarieh et vous pouvez accéder à la Mosquée du Vendredi, qui est aussi l’une des plus anciennes. Avant d’entrer dans le Bazar, il faut regarder derrière soi pour y apercevoir la longueur de la place, qui est l’une des plus grandes place au monde. Tous les arts et artisanats sont réunis à l’intérieur de ce marché où il est agréable de se promener et d’aller à la rencontre des iraniens de passage ou non.

 

Les Ponts Ci o Ce Pol et Khaju, dont l’acoustique particulièrement ingénieuse permet d’offrir des concerts le long de la rivière Zayandeh, en soirée et aussi pour y déguster un thé dans un « tchaie khaneh », maison de thé. Promenade incontournable de la ville. Il s’appelle aussi Allah Verdi Khan et possède 2 rangées de 33 arches typiques du design Safavide d’une longueur de 297 mètres et appartient aux 11 ponts historiques de l’Iran. Autrefois, on y trouvait une maison de thé mais le dessèchement fluvial en a voulu autrement.                 

                                          

JOUR 11 : ISFAHAN

Journée complète de visites et d’excursions autour de la ville d’ISFAHAN avec découvertes du Palais HASHT BEHESHT (8 Merveilles), de la Cathédrale Arménienne VANK, de la Mosquée JAMEH, du Temple du Feu et des Minarets Tremblants, Monar Jonban dans le quartier de la Nouvelle Jolfa.

Nuit à ISFAHAN.

Le Palais Hasht Behesht que l’on peut traduire par Huit Paradis est de l’époque Safavide, construit en 1669 et fait partie de l’Organisation de l’Héritage Culturel de l’Iran.

                                    

La Cathédrale Vank, plus connue sous le nom de Cathédrale Saint-Sauveur d'Isfahan, est la cathédrale la plus visitée d'Iran. Vank signifie monastère en arménien. Elle se situe dans le quartier arménien d'Ispahan, appelé La Nouvelle-Djoulfa. Elle est dédiée au saint Sauveur (Jésus-Christ) et a été construite entre 1655 et 1664, après que les Arméniens de Djoulfa eurent été déportés à la Nouvelle-Jolfa par le chah.Cette cathédrale abrite également aujourd'hui un musée consacré à l'histoire des Arméniens de la Nouvelle-Jolfa, une imprimerie ancienne, ainsi qu'une grande bibliothèque de manuscrits arméniens (au nombre de sept cents).  Vue de la rue, la cathédrale a le même aspect qu'une mosquée si ce n'est la croix au sommet du dôme. L'intérieur est recouvert de fresques racontant entre autres le martyre légendaire de saint Grégoire l'Illuminateur, fondateur de l'Église arménienne. À côté de la cathédrale se trouve un musée de l'art arménien, avec un mémorial du génocide arménien.

 

Monar Jonban, le minaret tremblant est une petite mosquée construite au 14ème siècle pour abriter la tombe de Amu Abdollah Soqla. Son étrange particularité est tout d’abord sa miniaturisation et aussi le fait que si vous faites trembler l’un des minarets, l’autre tremble aussi.

 

La Mosquée Jameh est située dans la partie sud, à l’Ouest le Palais Ali Qapu, l’autre Mosquée Sheikh Lotfollah sur les parties ouest et au nord se dresse une immense porte qui ouvre sur le Grand Bazar d’Isfahan. Tous les vendredis sont marqués par la prière (Jour de Prière des Musulmans). Elle a été construite dans un esprit de grandeur pour surplomber la ville avec un large dôme. Shaykh Bahaii avait planifié de construire une école religieuse, et une mosquée d’hiver de chaque côté de celle-ci.

 

JOUR 12 : ISFAHAN – TEHERAN (452 kms)

Le matin, route vers TEHERAN via KASHAN et QOM. A Kashan, visite des Anciennes et Majestueuses Demeures TABATABAEI et BROUJERDI, et du Jardin FINE. A Qom, on y découvre le Lieu Saint MASOUMEH. Poursuite du voyage vers Téhéran.

Nuit à TEHERAN.

La Maison des Tabatabaei ou Khāneh-yé Tabātabāeihā est une maison historique célèbre de Kachan en Iran. Elle a été construite dans les années 1840 pour l'influente famille des Tabātabāei, fameux marchands de tapis.

La maison est composée de quatre belles cours, de murs peints et gravés, avec des ouvertures sous forme d'élégantes fenêtres décorées de vitraux ainsi que d'éléments de l'architecture résidentielle persane traditionnelle tels que le birouni et l'andarouni.

La maison fut réalisée par Oustad Ali Maryam. C'est le même architecte qui construisit plus tard la maison des Boroudjerdi pour la fille des Tabātabāei qui venait de se marier dans cette famille.

 

La Maison Borudjerdi « khâneh e Borujerdihâ » est une demeure historique située à Kashan. La maison a été construite en 1857 par l’architecte Ustad Ali Maryam pour le mariage de Hadj Mehdi Borudjerdi, un riche commerçant. Le marié descendait d’une famille influente Tabatabaei, qui a également construit la Maison Tabatabaei quelques années plus tôt. Cette demeure se compose d’une cour rectangulaire magnifique, ornée de murs peints par le Peintre Royal Kamal Ol Molk. Trois tours du Vent, hautes de 40 mètres aident à garder la demeure fraîche en été par grande chaleur en utilisant les vents qui refroidissent même en période chaude. Elle possède trois entrées aux caractéristiques classique de l’Architecture Traditionnelle Perse, autant à l’extérieur qu’à l’intérieur (biruni/daruni ou andarun). La construction a duré 18 ans et a recensé plus de 150 artisans.

                        

Le Jardin Fine ou « Bagh e Fin », situé à Kashan est un jardin persan historique. Il comprend le hammam, où Amir Kabir, le Chancellier Qajarid a été assassiné ; son meurtrier était envoyé par le Roi Nasseredin en 1852. Plus tard en 1590, le Jardin de Fin a évolué et reste le plus ancien jardin d’Iran.

Les origines du Jardin sont peut être antérieures à la période Safavide. Quelques sources indiquent que le jardin avait été délocalisé d’un endroit à un autre, mais aucune preuve matérielle ne peut confirmer ces dires. Les installations de ce jardin et sa forme actuelle ont été réalisées par le Roi Abbas 1er de Perse (1571-1629), comme un jardin traditionnel du village voisin de Fin, situé à quelques kilomètres au sud ouest de Kashan.

Le jardin a encore évolué sous le règne de la dynastie Safavide, jusqu’à Abbas II de Perse (1633-1666). Il a été hautement reconnu pendant le règne du Roi Fath Ali Qajar et s’est étendu considérablement. Il a subi de nombreux dommages souffrant de négligence et a été très endommagé jusqu’en 1935. C’est devenu enfin une Propriété Nationale de l’Iran ; le 8 septembre 2007, le Jardin de Fin a été soumis à la liste de l’Unesco et a été le 18 juillet 2012 classé au Patrimoine Mondial de l’Unesco.

                            

JOUR 13 : TEHERAN

Journée complète d’excursion et de visites dans la capitale aux multiples quartiers entourés de montagnes enneigées en hiver. Cette avant-dernière journée permet de découvrir le Musée National d’IRAN, appelé aussi Musée Boostan, le Musée de la Verrerie et des Céramiques, appelé « Abguineh », le Palais GOLESTAN et le Grand BAZAR de TEHERAN, véritable lieu d’échanges économiques qui rappelle le dynamisme du pays.

Nuit à TEHERAN.

Le Musée National d’Iran appelé aussi Mouzeh Boostan nous raconte très vivement quelques pages de la civilisation, de la culture et de l’art persans à travers les ères. Il est, à cet égard, un des musée les plus riches du monde. Il nous narre, tel un livre gigantesque, d’innombrables événements historiques ; de l’émigration des Aryens sur le plateau de l’Iran à l’apogée de la gloire des achéménides. Au sein de ce bâtiment, des outils en pierre, des bols en argile, des statues où figurent des dieux et des déesses auparavant enfouis sous terre, tous exposent devant nos yeux les coutumes, les rites, la pensée et la manière de vivre des habitants de la Perse antique.

 

Le Musée de la Verrerie et de la Céramique (Abguineh) est un des musées de Téhéran construit à l’époque Qadjar. Enregistré sous le numéro 2014 le 7 Ordibehesht 1377 (date iranienne), sa construction a démarré en 1330 et était entre les mains de l’ambassade d’Egypte, puis l’ambasse d’Afghanistan, la Banque de Commerce, et en 1355, en collaboration d’ingénieurs australiens et iraniens qui ont apporté les changements que l’on connaît aujourd’hui.

 

 

Le Palais Golestan : c’est littéralement le Palais du Pays des Roses, ancien complexe de la famille Royale Qajar (Kadjar), le plus ancien des monuments historiques de la capitale et l’état du Patrimoine Mondial. Le Golestan appartient à un groupe de bâtiments royaux dont les murs sont en boue de chaume, Arch. Historique de Téhéran (Citadelle). C’est un chef d’œuvre de jardins et de constructions qui collectionne les plus belles réalisations artisanales et abrite les présents offerts des pays européens entre le 18e et 19e siècles. Ce complexe compte pas moins de 17 structures comme des palais, des musées, des lieux de réception, des halls. La plupart de ces bâtiments ont été réalisés sur une durée de 200 ans des Rois Qajar.

Tous ces palais servent à différents évènements, cérémonies des plus importantes. C’est aussi un lieu d’archives comme la Collection Photographie Royale « Album Khane », la librairie Royale de Manuscrits « Ketabkhâneh Nosakhe Khati » et les archives des documents « Markaze Asnad ».

 

Le complexe du Palais de Golestan comprend :

 

o   La Cour Karimkhani

o   Le monument le plus ancien de la collection Qadjar incluant les peintures manuelles

o   La Galerie où sont exposés tous les dons faits au Roi Qadjar

o   Le Chemin des Miroirs avec ses ivoires et porcelaines

o   La Maison du Printemps où se tient le Testament de Nazareth

o   Le bâtiment Shamsolemarch, le plus grand, de Fath Ali Shah

 

 

JOUR 14 : TEHERAN

Le matin, visite du Complexe Sa’ad Abad, son palais et son parc à côté de DARBAND, en bordure de rivière, où le week end il fait bon escalader, et marcher. L’après-midi, visite du Bazar de TAJRISH, et du Musée du Tapis.

Nuit à TEHERAN.

Le palais de Sa'dabad a été construit par la dynastie Qadjar et la dynastie Pahlavi successivement dans le quartier nord de Shemiran. Ce sont les derniers membres de la dynastie Qadjar qui ont fait construire les premiers bâtiments de cet ensemble au début du 20ème siècle, dans une partie alors excentrée de la capitale, au climat plus aéré en été grâce à la proximité des montagnes. Reza Shah a d'abord vécu ici dans les années 1920 et y a fait construire des pavillons et des villas plus modernes avant de déménager au palais de Marbre en centre-ville. Mohammad Reza Pahlavi a déménagé au palais de Sa’dabad à la fin des années 1960, après la tentative d'attentat de 1965, et parce que l'agrandissement de la famille royale nécessitait un confort plus contemporain. Après la révolution islamique de 1979, les différents pavillons et villas composant le palais ont été transformés en musées.

                          

Tajrish est un quartier le long de l'extrémité Nord de Téhéran, la capitale de l'Iran. Ce quartier est l'une des plus vieilles parties de Téhéran et est devenu tardivement prisé par les riches à cause de son faible niveau de pollution. En effet, cette partie de la ville est située le long des montagnes au nord de Téhéran. Tajrish est situé dans le district de Shemiran. En 2006, le quartier avait 86 000 habitants. Jusqu'en 1970, Tajrish et son voisin Shemiranat sont de petites villes le long de l'extrémité de Téhéran souvent utilisé pour les loisirs par les habitants de la ville. Ce secteur était relativement déconnecté du cœur du tissu urbain de Téhéran mais était facilement accessible et devient un lieu populaire vacationing spot. Avec l'augmentation de la population et le besoin de plus d'espace à partir de 1970, Tajrish finalement gagne une population relativement dense et deviendra mieux connecté avec le reste de la ville. Tajrish a un vieux bazar et un mausolée appelée Imam Zadeh Saleh, tous deux sont des lieux touristiques populaires.

La place Tajrish est l'une des parties les plus actives de Téhéran, avec des terminaux de bus et de taxi, centre commerciaux (incluant l'exclusive Tandis Center) et beaucoup de restaurants. Le rond-point de Tajrish est le début de l'avenue Vali-ye Asr, la plus longue voie de Téhéran.

Le Musée du Tapis montre la plus grande variété de tapis et de tissages que l’on trouve dans le pays datant pour les plus anciens du 16ème siècle. Ce hall d’exposition occupe 3400 m² et sa bibliothèque contient 7000 livres, servant à décrire l’origine de chaque tapis, anecdotes, et autres descriptions. Ce musée a été conçu par la Reine Fara Diba Pahlavi et sa forme extérieure a été réalisée comme un métier à tisser, les murs extérieurs étant protégés pour réduire celle de l’intérieur malgré la canicule estivale.

 

JOUR 15 : RETOUR

Très tôt le matin, selon vol, transfert à l’aéroport international IKA de Téhéran pour vol de retour.

Fin du Voyage.