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Itinéraire: SHIRAZ

JOUR 1 : VOL INTERNATIONAL ET ARRIVEE A SHIRAZ

 

Nous avons pris le soin de préparer ce merveilleux voyage pour découvrir la civilisation perse et l’Iran d’aujourd’hui. L’après-midi, arrivée à Shiraz et rencontre de l’équipe des accompagnateurs, assistance et transfert à l’hôtel. En début de soirée, promenade vers la Porte du Coran où sont érigés les Mausolées de Hafez et Sa’adi.

 

Nuit à SHIRAZ.

HAFEZ est né à Shiraz. Ses parents étaient originaires de Kazerun, dans la province du Fârs. Malgré son influence profonde, ses effets sur le mode de vie iranienne, et sa popularité, beaucoup de détails sur sa vie sont restés méconnus. Beaucoup d’anecdotes sont devenues incontournables sur ses débuts et les sketches « tazkiras » mentionnent son manque de sérieux et de morale. Pourtant, très jeune, il mémorise le Coran comme personne et se donne le titre de Hâfez (plume) qu’il utilisera plus tard comme nom d’auteur. La préface du « Divân », dans laquelle il est question de ses débuts, a été écrite par un écrivain contemporain Mohammad Golandâm. Cet auteur et Qâsem Gani ont rédigé les compilations des œuvres de Hâfez, édités sous un langage moderne, ainsi que Parviz Natel-Khanlari.

                           

 

 

Abu-Muhammad Muslih al-Din bin Abdallâh Shirâzi, plus connu sous le nom de Sa’adi, puis Saadi de Shiraz était l’un des plus réputés poètes et homme de littérature perse de la période médiévale. Il n’est pas seulement un journaliste écrivain de l’époque, mais aussi reconnu pour ses inspirations occidentales. Son écriture de grande qualité, sa richesse de pensées morales et sociales l’ont placé au plus haut rang de la littérature. Saadi est largement reconnu comme le plus grand poète de la traditionnelle littérature classique perse. Né à Shiraz en 1210, très jeune, son père mourut et raconte dans ses mémoires d’enfant tous ses souvenirs d’enfance et de son père lors des festivités.

Dans sa jeunesse, Saadi a connu la pauvreté et les épreuves de la vie. Il a quitté sa ville natale pour rejoindre Baghdad et poursuivre une meilleure éducation. Très jeune, il rentra à l’Université Nizamiyya, où il étudia les sciences islamiques, les lois, la gouvernance, l’histoire, la littérature Arabe, et la Théologie Islamique. Il revient à Shiraz en 1257 et construit son jardin et bassin où l’on se receuille encore. L’année suivante, il raconte dans ses poèsies la tombée du Caliphat Abbasid et la destruction de Baghdad par l’invasion des Mongoles en février 1258. Quand il réapparut dans sa ville natale, il est à l’aube de sa quarantaine, Shiraz est sous le règne de Atabak Abubakr Sa’d Ibn Zangy de 1231 à 1260, et vit des jours heureux dans une relative tranquillité parmi tous les plus grands de sa province.

                             

 

 

JOUR 2 : SHIRAZ

 

Après le petit-déjeuner, début des visites dans la cite des Roses et des Poètes : Jardin Narenjestan, le Complexe Vakil avec son Bazar, son Hammam et sa Mosquée. Déjeuner dans un restaurant local et poursuite des visites avec le Jardin Eram.

 

Nuit à SHIRAZ.

 

La Maison de Qavam est une maison traditionnelle et historique à Shiraz. Elle a été construite entre 1879 et 1886 par Mirza Ibrahim Khan. Les membres de la famille Qavam étaient des marchands originaires de Qazvin. Mais ils sont vite devenus actifs dans le gouvernement pendant la dynastie Zand, suivie par les Qadjar, et la dynastie Pahlavi. Le Qavam "Naranjestan" conserve l'élégance et le raffinement apprécié par les familles de la classe supérieure au cours du XIXe siècle. Les peintures sur les plafonds bas de la maison sont inspirées par l'époque victorienne d’Europe. Le porche miroir était un point focal de la maison, donnant sur un petit jardin qui a été conçu avec des fontaines, des palmiers, des dattiers, et des plantes à fleurs. Au cours de la seconde ère Pahlavi, la maison est devenue le siège de l’Asia Institute de l'Université Pahlavi, dirigée par Arthur Upham Pope (archéologue américain et historien de l’art iranien) et Richard Nelson Frye (universitaire américain d'études sur l'Asie centrale et l'Iran). La maison est aujourd'hui un musée ouvert au public.

 

                                                                                                                                                                                                  

Zandieh ou le complexe Vakil incluant le Bazar, le Hammam et la Mosquée.

Le Bazar VAKIL est le principal bazar de la ville, situé dans le centre historique de Shiraz. Cela rappelle que cette place de commerce a été établie au 11e siècle par Buwayhids, qui a été principalement rebâti par les « Atabaks » du Fars. Au 18e siècle, le régent Karim Khan Zand a renommé tout ce complexe. Le Bazar est un ensemble de cours, de bassins, de maison de bains, de minuscules échoppes et de places où l’activité commerciale allait des épices, aux tapis, aux cuivres et à tout l’artisanat du bois, des bijoux, des pierres… Comme tout bazar, on retrouve des mosquées et « Imâmzâdeh » construites à l’avant ou à l’arrière du bazar.

 

 

 

La Mosquée VAKIL de Shiraz est située à l’ouest, à côté de la porte d’entrée du Bazar Vakil. Elle a été construite entre 1751 et 1773 pendant la période Zand et restaurée sous le règne Kadjar. Vakil veut dire « régent », ou « ministre » de nos jours, ce nom a été donné par Karim Khan, le fondateur de la dynastie Zand. Shiraz a été gouvernée par ce dernier qui a, durant sa présence, fait bâtir et édifier beaucoup de bâtiments et de monuments.

 

 

 

Le Hammam VAKIL est un très ancien bain ouvert au public à Shiraz. Construit par Karim Khan, il est une des œuvres du district royal, inclus parmi tous les autres édifices aussi bien administratif que religieux. Le monument est classé sous le numéro 917 de la liste nationale.

 

 

 

            Le Jardin d'Eram contruit au 13ème siècle au nord de la Rivière Khoshk comprend aussi un Palais dont la photo mythique reflète dans le bassin face à la maison. Mais ce qui marque le plus, c’est le jardin construit sous l'ère Kadjar au 19ème siècle, il est devenu sous la protection de l'Université de Pahlavi en sa période et devint École de Droit. Avant tout, ce sont d’immenses cyprès, roseraies, bassins, jardin botanique. Il est restait propriété de l’Université de Shiraz, quant au Palais, il n’est visible que de l’extérieur.

 

 

 

  JOUR 3: SHIRAZ - ISFAHAN

                  

Après le petit-déjeuner, départ de l’hôtel en direction de Marvdasht où se tient le plus grand site archéologique d’Iran, Persépolis. Arrêt pour visites et déjeuner en chemin. Puis poursuite du voyage en direction de Isfahan. A l’arrivée, visite du Complexe Naqsh e Jahan. Transfert à l’hôtel et dîner.

 

Nuit à ISFAHAN.

« Persépolis », désigne la Cité Perse, aussi connue sous le nom « Takhteh Jamshid ». Le Trône de Jamshid, était la capitale de l’Empire Achéménide (550 AV JC). La Ville des Perses est située à 60 kms au nord-est de Shiraz dans la province du Fars. Les premières ruines de Persépolis date de 515 AV JC et sont caractéristiques du style architectural Achéménide. Ce site est reconnu comme patrimoine mondial de l’Unesco en 1979.

Ensemble avec « Naqsh-e-Rostam », situés à moins d’un kilomètre l’un de l’autre, ils font partie du complexe de Marvdasht. Tous deux ont l’espoir d’être reconnus au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Les Bas-Reliefs sont symboles de la période Sassanide. Une des grottes taillées dans la roche laisse apparaître l’inscription d’Ardeshir I (226-241), fondateur de la dynastie, puis vint le Roi Shapur I, son successeur. Une des scènes de Bas-Relief est la représentation de la victoire de Shapur I, à cheval et tenant le bras de l’empereur Philippe l’Arabe. Il combattit les Romains aussi à plusieurs reprises. Une autre inscription est attribuée à Kartir, haut prêtre zoroastrien sous le règne de Shapur I et ses fils Hormizd (272-273) et Bahram (273-276).                                                                                              

 

 

 

La Place Nagh e Jahan, est située au centre de la ville. Construite entre 1598 et 1629, c’est maintenant un centre historique reconnu par l’Unesco. 160 mètres en largeur et 560 mètres en longueur. La place est entourée de bâtiments qui datent de l’ère Safavide.   

 

 

 

La Mosquée Lotfollah, salon privé du Harem du Shah. C’est un des quatre monuments dominant face au Palais qui a été construit en premier. La Cour Royale se l’était appropriée pour elle-même, alors que la Mosquée était conçue pour le public. Pour cette raison, la Mosquée n’a aucun minaret et est d’une plus petite taille. Effectivement, quelques occidentaux de la période Safavide ne prêtait même pas attention à celle-ci. Ce n’est qu’aux siècles derniers quand les portes se sont ouvertes au public, que le public a pu admiré l’effort réalisé par le Shah Abbas pour y installer les femmes de son harem ; le travail exquis de céramique est de loin supérieur à la céramique qui couvre la Mosquée Jameh.

                                

 

 

Le Palais Ali Qapu est une vaste demeure résidentielle qui marque l’entrée du Palais Royal du Shah Abbas. Il s’étend de la Place Naqsh e Jahan au Boulevard Chahar Bagh. Le nom est composé de Ali, nom arabe et Qapu, nom d’origine turc relié à la Porte d’Ali, rapporté d’Irak du Tombeau de l’Imam Ali selon une légende. A l’époque Safavide, on rivalisait le nom Ali de l’empire Ottoman et de leur cour. C’était là encore que la Monarchie recevait tous les nobles visiteurs et ambassadeurs étrangers. Le Shah Abbas, pour la première fois, célébra le Norouze (premier jour de l’an) en 1006. Sa structure est rectangulaire, haute de 48 mètres, à 6 étages, et a en façade une large terrasse supportée par des colonnes en bois. Au 6ème étage, se tenaient les réceptions royales et banquets. Les plus grandes pièces se trouvent à cet étage.

 

 

 

Le Vieux Bazar d’Isfahan est un marché historique, un des plus marqués par son activité dans le centre de l’Iran qui date du 17ème siècle. Il s’étend sur deux kilomètres de ruelles qui se croisent et se rejoignent avec la nouvelle partie. Il est au centre d’Isfahan et partie nord de la Place Naqsh e Jahan. Son entrée principale s’appelle Qeisarieh et vous pouvez accéder à la Mosquée du Vendredi, qui est aussi l’une des plus anciennes. Avant d’entrer dans le Bazar, il faut regarder derrière soi pour y apercevoir la longueur de la place, qui est l’une des plus grandes place au monde. Tous les arts et artisanats sont réunis à l’intérieur de ce marché où il est agréable de se promener et d’aller à la rencontre des iraniens de passage ou non.

 

 

 

JOUR 4 : ISFAHAN

 

Après le petit-déjeuner, 2nd journée de visites à Isfahan et visites du Palais Tchehel Sotoon (40 Colonnes), d’un autre Palais nommé Hasht Behesht (8 Paradis) et dans le quartier arménien, la Nouvelle Jolfa, la Cathédrale Vank.

 

Nuit à ISFAHAN.

Le Palais Tchehel Sotun est un large pavillon situé dans un parc face à un plan d’eau construit par le Shah Abbas II utilisé pour les réceptions et cérémonies officielles où les hauts dignitaires, ambassadeurs qui étaient conviés sur le salon donnant sur la terrasse de façade. Son nom est dû à ces vingt colonnes qui par le reflet de l’eau double son chiffre et sont comptés au nombre de 40. Comme le Palais Ali Qapu, il abrite de nombreuses fresques et peintures, céramiques. A l’ouest, se tient un musée où l’on peut admirer toutes les belles œuvres de céramiques et de verrerie qui laisse supposer l’esprit de joie de vivre et romanesque de l’amour.

 

 

 

Le Palais Hasht Behesht que l’on peut traduire par Huit Paradis est de l’époque Safavide, construit en 1669 et fait partie de l’Organisation de l’Héritage Culturel de l’Iran.

                                    

 

 

La Cathédrale Vank, plus connue sous le nom de Cathédrale Saint-Sauveur d'Isfahan, est la cathédrale la plus visitée d'Iran. Vank signifie monastère en arménien. Elle se situe dans le quartier arménien d'Ispahan, appelé La Nouvelle-Djoulfa. Elle est dédiée au saint Sauveur (Jésus-Christ) et a été construite entre 1655 et 1664, après que les Arméniens de Djoulfa eurent été déportés à la Nouvelle-Jolfa par le chah.

Cette cathédrale abrite également aujourd'hui un musée consacré à l'histoire des Arméniens de la Nouvelle-Jolfa, une imprimerie ancienne, ainsi qu'une grande bibliothèque de manuscrits arméniens (au nombre de sept cents).

Vue de la rue, la cathédrale a le même aspect qu'une mosquée si ce n'est la croix au sommet du dôme. L'intérieur est recouvert de fresques racontant entre autres le martyre légendaire de saint Grégoire l'Illuminateur, fondateur de l'Église arménienne. À côté de la cathédrale se trouve un musée de l'art arménien, avec un mémorial du génocide arménien.       

JOUR 5 : ISFAHAN – KASHAN – TEHERAN (450 kms)

                  

Après le petit-déjeuner, route vers Téhéran via Kashan où sont prévues quelques visites dans cette petite cite chargée d’histoires et de monuments. Au programme : le Jardin Fine (Unesco) et la Demeure Tabatabaei.

 

Nuit à TEHERAN.

Le Jardin Fine ou « Bagh e Fin », situé à Kashan est un jardin persan historique. Il comprend le hammam, où Amir Kabir, le Chancellier Qajarid a été assassiné ; son meurtrier était envoyé par le Roi Nasseredin en 1852. Plus tard en 1590, le Jardin de Fin a évolué et reste le plus ancien jardin d’Iran.

Les origines du Jardin sont peut être antérieures à la période Safavide. Quelques sources indiquent que le jardin avait été délocalisé d’un endroit à un autre, mais aucune preuve matérielle ne peut confirmer ces dires. Les installations de ce jardin et sa forme actuelle ont été réalisées par le Roi Abbas 1er de Perse (1571-1629), comme un jardin traditionnel du village voisin de Fin, situé à quelques kilomètres au sud ouest de Kashan.

Le jardin a encore évolué sous le règne de la dynastie Safavide, jusqu’à Abbas II de Perse (1633-1666). Il a été hautement reconnu pendant le règne du Roi Fath Ali Qajar et s’est étendu considérablement.

Il a subi de nombreux dommages souffrant de négligence et a été très endommagé jusqu’en 1935. C’est devenu enfin une Propriété Nationale de l’Iran ; le 8 septembre 2007, le Jardin de Fin a été soumis à la liste de l’Unesco et a été le 18 juillet 2012 classé au Patrimoine Mondial de l’Unesco.

                               

 

 

La Maison des Tabatabaei ou Khāneh-yé Tabātabāeihā est une maison historique célèbre de Kachan en Iran. Elle a été construite dans les années 1840 pour l'influente famille des Tabātabāei, fameux marchands de tapis.

La maison est composée de quatre belles cours, de murs peints et gravés, avec des ouvertures sous forme d'élégantes fenêtres décorées de vitraux ainsi que d'éléments de l'architecture résidentielle persane traditionnelle tels que le birouni et l'andarouni.

 

 

 

JOUR 6 : TEHERAN

 

Après le petit-déjeuner à l’hôtel, début des visites au centre de la capitale pour appréhender cette grande cité grouillante où l’on ne s’ennuie jamais. Au programme, le Palais Golestan, le Grand Bazar et le Musée Abguineh.

 

Nuit à TEHERAN.

 

Téhéran تهران, est la capitale de l'Iran. Située au nord du pays, au pied des monts Elborz, la ville donne son nom à la province dont elle est également la capitale. Téhéran a vu sa population multipliée par 40 depuis qu'elle est devenue la capitale à la suite du changement de dynastie de 1786. En 2015, la ville représente environ 9 000 000 habitants et son agglomération plus de 15 000 000. La ville possède un métro avec 5 grandes lignes reliant les grandes banlieues au centre et un dense réseau autoroutier.

 

Le Palais Golestan : c’est littéralement le Palais du Pays des Roses, ancien complexe de la famille Royale Qajar (Kadjar), le plus ancien des monuments historiques de la capitale et l’état du Patrimoine Mondial. Le Golestan appartient à un groupe de bâtiments royaux dont les murs sont en boue de chaume, Arch. Historique de Téhéran (Citadelle). C’est un chef d’œuvre de jardins et de constructions qui collectionne les plus belles réalisations artisanales et abrite les présents offerts des pays européens entre le 18e et 19e siècles. Ce complexe compte pas moins de 17 structures comme des palais, des musées, des lieux de réception, des halls. La plupart de ces bâtiments ont été réalisés sur une durée de 200 ans des Rois Qajar. Tous ces palais servent à différents évènements, cérémonies des plus importantes. C’est aussi un lieu d’archives comme la Collection Photographie Royale « Album Khane », la librairie Royale de Manuscrits « Ketabkhâneh Nosakhe Khati » et les archives des documents « Markaze Asnad ».

 

Le complexe du Palais de Golestan comprend :

 

o   La Cour Karimkhani

o   Le monument le plus ancien de la collection Qadjar incluant les peintures manuelles

o   La Galerie où sont exposés tous les dons faits au Roi Qadjar

o   Le Chemin des Miroirs avec ses ivoires et porcelaines

o   La Maison du Printemps où se tient le Testament de Nazareth

o   Le bâtiment Shamsolemarch, le plus grand, de Fath Ali Shah

                                                                                                                                                                        

                                             

Le Grand Bazar à lui seul est une ville où l’on vend de tout , mais c’est la plaque tournante économique de l’Iran, où se mélangent les habitants de la ville, les hommes d’affaires, et où l’on trouve mosquées, restaurants, banques, maisons d’hôtes. C’est un lieu aussi chargé d’histoires qui s’étend sur 10 kms de long, avec plusieurs entrées dont la principale s’appelle Sabze Meydon. Le bazar de Téhéran est un labyrinthe de ruelles et d’avenues que chaque jour arpentent les passants, les porteurs, les marchands, une vie qui ne s’arrête jamais.

De nos jours, le Bazar est accessible par le Métro Urbain qui a créé son arrêt à son nom et qui permet de désengorger la circulation, même si le trafic quotidien reste encombré.

Autrefois, le Bazar de Téhéran était sur une autre plaine du sud de Téhéran et remonte à 6000 ans, autant dire que cette place était déjà destinée à cet immense marché. Il n’est pas facile de déterminer son emplacement autrefois, mais c’était un lieu d’échange de toutes marchandises confondues qui occupait cet espace. La dynastie Safavide a vu grandir les lieux et en a fait des parties couvertes ou non couvertes, et c’est à travers ce marché que Téhéran a trouvé sa place comme capitale, tellement l’activité commerciale y était importante.

 

 

 

Le Musée de la Verrerie et de la Céramique (Abguineh) est un des musées de Téhéran construit à l’époque Qadjar. Enregistré sous le numéro 2014 le 7 Ordibehesht 1377 (date iranienne), sa construction a démarré en 1330 et était entre les mains de l’ambassade d’Egypte, puis l’ambasse d’Afghanistan, la Banque de Commerce, et en 1355, en collaboration d’ingénieurs australiens et iraniens qui ont apporté les changements que l’on connaît aujourd’hui.

 

 

 

JOUR 7 : VOL DE RETOUR

 

Après le petit-déjeuner, sortie de l’hôtel et transfert à l’aéroport international pour vol de retour vers le pays d’origine.

Fin du Voyage.